Into the Wild

pour Merryl Streep en normandie, je confirme elle ne vient pas assez souvent à mon goût surtout chez moi.

pour la musique ils ont inventé un truc super qui s'appelle les CD, in the mood pas encore vu mais les bandes annonce m'ont rappelé un film "chef d'oeuvre qu'il fallait avoir vu" avec Jack Nicholson et où je me suis prodigieusement ennuyé, il était photographe détective dans je ne sais quel pays et rencontrait une jolie femme j'ai oublié qui et on attend pendant tout le film pour savoir s'ils couchent ou pas, ce sont des films en 3 D, ils parlent d'ennui, de langueur et vous le font vivre

les films dit d'action les 9/10 de la production sont mauvais, comme la production du ciné en général

Ben, dans " In the Mood for love" il n'y a pas de danger pour les yeux et les oreilles chastes des enfants ou des plus grands... On y perçoit les Us et coutumes chinoises en HAKA ( Dialecte du Sud de la Chine pour ne pas dire "cantonais" car ça fait trop canard.. ) J'y ai reconnu mes belles soeurs et belle mère ( De vraies commères) et les 2 héros -dont Tony Leung- sont muets et ça fait du bien de les voir monter et descendre cet escalier! Un film incontournable pour la scène finale où l'on voit un bel enfant à Angkor Vat... Il est, comme le petit Jésus, né par l'opération du Saint Esprit!
Mlle Maggie Cheung change de robe à chaque scène tout ça pour aller chercher ses " Van Tan" ( Raviolis chinois) C'est vrai que c'est bon!

je trouve pas que ça fasse canard, mais je ris

Tu as bien raison de rire... De toute manière c'est le mieux ... Car apprendre le Cantonais, Bonjour!
38 ans de cantonais...mazette, pas facile à prononcer...Déja je comprends, mais le parler?

oui mais je ris Haka


c'est moins drôle que je ris



cantonnais

Et la lumière fut! Merci je ris aussi

mes dames et mesdames, j'ai réussi, j'ai vu into the wild et j'ai même pas dormi, 2h27;; faut dire que j'avais pris de la lecture, je vois les yeux des cinéphiles qui se froncent "ce cuistre bouquine au cinoche!" que nenni, j'avais de la lecture sur l'écran car c'était en VO, ouah je vois les cinéphiles soupirer d'aise devant ce choix on ne peut plus de connaisseur qui méprise un peu le doublage.
j'avoue, c'était pour une question d'horaire et de salle.

Le héros Alex (en VO et quand il fait la route), est un bon petit garçon de la up middle class américaine, qui termine brillament ses études universitaires avec la cérémonie de remise des diplomes aucours de laquelle les parents se poussent du col pour voir leur progéniture parée d'un chapeau grotesque recevoir un diplome.
Mais derrière l'image d'Epinal, le malheur et le non dit rôdent, la famille unie cache ses félûres et le jeune à qui tout sourit nous fait sa crise d'adolescence ou une petite névrose et décide de "faire la route" de vivre DANS la nature si belle et si bonne et de fuir les valeurs qu'on lui propose.

Si vous avez raté les année 70 75, le mouvement hippie, la fin de la guerre du VIet nam et Woodstock, vous aller pouvoir mettre à jour vos connaissances en idéologies fumeuses (dans tous les sens du terme) et autres spiritualités de bazar avec statuettes de bouddha et Dream catcher amerindien, sans oublier les magnifiques barbouillages colorés sur les bagnoles, manquait que l'odeur de patchouli qui cachait mal le gilet brodé en chèvre afghane mal tannée.

Mais le héros en veut toujours plus dans sa quête d'absolu (formule vue et revue qui doit s'apprendre dans les écoles de journalistes pour qu'on la lise aussi souvent ou alors manque lt à la fin) et il finit par par partir s'immerger dans la mère nature en Alaska.

En route il fait quelques rencontres dont au moins une assez belle avec un vieil homme (mais ce n'est pas sans poncifs). Entre ses rencontres quelques vues fixes digne des papiers peints photographiques des mêmes années 70 qu'on trouvait dans les cabinets médicaux et autres salles d'attente, option nature (les gratte ciel ne sont pas tout à fait dans la ligne). SI vous avez raté les années 70 préparez vous à mon avis avant longtemps Valérie Damidot va relooker des intérieurs avec ce type d'accessoire et quelques bougies chauffe plat.

Alors un bon film, un chef d'oeuvre? pas pour moi, non, je trouve ça assez convenu à part la fin qui sauve un peu le film, pas mauvais non plus, mais pour être franc je ne l'enregistrerai pas et je doute de le regarder lors d'un passage télé (surtout en VF , je m'la pète ), en revanche des incohérences dans ce récit, le gaillard achète soi disant une 22, (carabine) et avec ça il tue un élan, très drôle, ensuite il essaie de préparer la viande et de se nourrir avec des astuces qu'il a du piquer dans un vieux manuel de scout ou dans "copain des bois" accrochez vous si comme moi vous détestez la viande rouge pour la scène de préparation de l'élan; le jeune homme a peur de l'eau mais apprivoise sa peur au bord de la mer et plus tard pour continuer, avec quelques notions, il descend le Colorado en kayak même pas en raft,pour gagner le Mexique (pour avoir passé 4 mois de l'année pendant 10 ans à enseigner le kayak à des adultes et des enfants, là je rigole ), et quelques autres incohérences qui doivent être liées au fait que c'est adapté de l'histoire vraie d'un mac ...iness reconstituée par la famille avec quelques mots écrits à gauche et à droite , donc on va parfois dans la légende, les morts sont tous de braves types.

ça se laisse voir, mais moins de jolis paysages que prévus et une espèce de voyage initiatique à la quête de soi et du sens de la vie, avec quelques petites pensées philosophiques pour grandes filles de seconde, à écrire au corrector sur des trousses en daim, le syndrome d'une jeunesse dorée bourgeoise à laquelle les parents transmettent plus de valeurs en dollars qu'autres, le genre de malaise que nos médias sont très heureux d'attribuer à la société américaine sans voir que bon nombre de nos concitoyens vivent avec des modèles de valeurs identiques.
la bande son devrait plaire, on dirait des covers de titres de Dylan ou de cat Stevens période fumette pas mahommet. Le héros se fait appeler ALex Supertramp ce qui signifie un truc du genre super vagabond, mais à chaque fois qu'il le dit ou l'écrit on a du mal à penser à autre chose.

PS j'ai pas pleuré et je ne me suis pas du tout retenu, en dehors du fait que c'est basé sur un fait réel et que la fin est ne donne pas dans le gai, j'ai pas vu ou pleurer et dans mon entourage dans la salle personne ne pleurait.

Je crois que je vais quand même aller le voir. J'adore la viande rouge et j'ai "Copain des bois" sous la main pour vérifier si tout est plausible ...

Ah bon, personne n'a pleuré ? Pas une seule madel...eine dans la salle ??? Fallait m'inviter !

et pourtant il y avait pas mal de filles entre 20 et 30 qui trouvaient l'acteur "mignon"...
ça se laisse voir, mais de là à en faire un chef d'oeuvre,il y a une sacrée marche, je dirais que c'est plus pour ses engagements politiques anti Bush qu'on salue le travail de Sean Penn et pour lui permettre de continuer à travailler dans une Amérique conservatrice où son message de remise en cause des valeurs du fric est un peu hors norme. J'ai entendu des critiques glorifiant la prise de vue, faut pas charrier, les plans sont loin d'être exceptionnels et parfois d'une banalité de carte postale. je trouve ça un peu plat malgré le relief des endroits traversés

Ce serait plutôt innovant d'attribuer des larmes aux films qu'on a vus, plutôt que des étoiles. Une larme, émotion coup de chaud-froid comme la goutte au nez des grands-mamans; deux larmes, j'essuie discrètement de l'index, ça m'effleure mais je reste capable de refouler; trois larmes, et avalage de salive répété et "je vais pas craquer de toute façon c'est du cinéma"; quatre larmes, je farfouille dans mon sac pour le kleenex, mieux et plus fort que la vraie vie vécue; cinq larmes, le niagara émotionnel et les ventes de kleenex qui montent en flèche.

Into the wild ne m'a pas fait pleuré, entendu quelques reniflements dans la salle. Voilà pour le premier critère. Par contre, oui, j'ai ressenti le frisson émotionnel à la sortie du cinéma (l'histoire est finalement dramatique et triste). Discussion animée pendant le retour vers la maison, à pied, dans le froid, près d'une heure de marche. Un très bon point. Le vrai baromètre "j'aime - j'aime pas", c'est quelques jours plus tard, quand je constate que le film a tracé un chemin dans ma mémoire. Le fait que l'histoire soit vraie donne un poids très particulier et fort. Si cela n'avait été que du cinéma, je n'aurais peut-être pas autant adhéré. La vraisemblance de certaines scènes m'a parfois chiffonnée, sans plus, ce qui comptait pour moi c'était d'essayer de comprendre ce que le héros avait vécu et traversé. J'ai jamais tué d'élan ni dépecé ce genre de bête (ni aucune autre d'ailleurs). Difficile d'être critique vis-à-vis de la trajectoire d'un jeune gars qui se cherche, quand on sait qu'il l'a vécue. Je ne porte pas de jugement sur la façon de filmer, la beauté ou non des images, à vrai dire, j'ai plutôt centré mon attention sur l'histoire que Penn nous racontait. Pas trop sur la façon. Sauf peut-être le montage, les allers-retours passé-présent m'ont parfois dérangée et je ne suis pas sûre que cela apporte grand chose au récit.

La trajectoire de ce jeune homme brillant, en rupture avec ses parents, qui cherche le réconfort et la réconciliation en partant à la recherche de lui-même, m'a touchée. C'est fait sans cris, révoltes ou portes qui claquent. Un vrai cheminement vers la blancheur purificatrice de l'alaska (dont on peut rire, mais c'est son but, alors, faisons avec). Le témoignage de la soeur, en voix off, donne une épaisseur aux relations tissées et dramatise ce parcours. Elle apparaît comme le lien nécessaire entre la fuite du frère et le désarroi des parents. J'ai oublié quelle musique accompagnait quelle image, mais j'entends encore le son de sa voix et l'application qu'elle met à trouver les mots justes pour dire cette séparation. Les parents ne sont pas trop stéréotypés (merci Sean Penn), juste détestables par moment; ils évoluent tout de même dans leur chagrin, guidés par l'affection qu'ils ont pour ce fils mal compris et mal aimé. Ils expriment leur désarroi dans la limite du carcan émotionnel dans lequel ils restent enfermés.

Les rencontres ne sont pas dénuées d'aspects christiques, mais certaines sont très belles. Le héros les traverse sans s'engager vraiment, obnubilé par sa quête et c'est respectable. (Sans cela on imagine bien qu'il aurait couché avec la fille, na!)

L'absurdité de la fin fait rager, mais la dernière phrase commentée dans le livre porte loin. PARTAGER, toute vie ne vaut que si elle est partagée. C'est peut-être de la prose de collégienne, j'aimerais bien avoir plus de collégiens comme celui-ci

c'est la plus jolie phrase du film, j'ai pas dit que les collègiennes les produisaient mais qu'elles aimaient les recopier, dommage qu'il lui ait fallu cette expérience tragique pour réaliser, je n'avais pas cité la phrase car je trouvais qu'elle faisait partie de la beauté de la fin. Les aller retours m'ont aussi un peu dérangé, donc pour ceux qui n'ont pas vu observez bien la barbe .

vous êtes tous des fans de la beat generation...... avouez!


ça me donne envie d'aller le voir ce film.....

tacha a écrit:

vous êtes tous des fans de la beat generation...... avouez!
: :

au contraire, j'aime pas du tout l'idéologie de cette beat génération à laquelle je ne reconnais qu'un mérite :avoir fait cesser la guerre du vietnam; ça doit d'ailleurs contribuer à me faire rester 2 pas en arrière sur ce film, les rassemblement de crasseux vendant des conneries aux touristes ça m'a toujours exaspéré

mais si je devais utiliser l'ancien classement de télérame je dirais "à voir si le coeur vous en dit"

en voyant ce film je me rappelais de Zabriskie point et de sa bande son et de ses acteurs qui n'étaient pas des pros et bien ça doit être l'air du temps, il ressort bientôt en salle.... c'est aussi long et lent, une espèce de clip et des vrais gens , une époque quoi, presque un documentaire.

Happiness is only real when shared...c'est la plus belle et comme il dit "C'est trop con! c'est trop con!". ce qui lui arrive...découvrir ça maintenant!

Je n'ai pas dormi et pas pleuré...pourquoi d'ailleurs?... le film est long mais moins éprouvant que Gerry...je ne me suis pas mise à sa place comme dans l'autre film...mais pour le coup, j'ai quand même ressenti le froid lorsqu'il traverse la rivière avec ses petites bottes pour ramasser des coquillages...là, j'ai eu froid, oui...et je me suis dit "mais il est insensé!"

...au début, je pensais qu'il prenait une année off comme l'aiment le faire les anglo-saxons après leur bac...mais non, c'est une rupture avec son milieu qu'il recherche...et après tout, pourquoi pas...sa soeur dit qu'il a toujours aimé l'aventure, je crois que ça l'a aidé à franchir le pas...seulement là, ça s'éternise et la fin, ce n'est peut être pas celle qu'il attendait...faire sa crise, remettre les choses à plat...mais ça?!! ...je répète "c'est trop con!"...

...et je pense aux parents, à cet Amérique où l'argent, la carrière, le manque de communication parents-enfants forment des gens fragiles...et c'est vrai aussi chez nous...

...la bande son n'est pas mal, pas transcendante non plus, les paysages grandioses (j'ai reconnu le pan de mur de la cuisine de mes beaux parents-fin des années 70 )mais ça, l'Amérique n'a pas trop de mal et vraiment ceux de Gerry sont aussi grandioses...côté philo, y'a plein de phrases balancées qu'on n'a même pas le temps de les noter qu'il y en a une autre qui vient derrière...ça évoque la raison, l'amour, la lumière( celle envoyée par Dieu)...Tolstoï, Pasternak...enfin, plein!...toutes louables...

...il faut que le film mûrisse dans ma tête mais je ne dirai pas "inoubliable"....Gerry m'a davantage marquée...euh pardon, ce nom revient souvent , désolée

...seule la dernière phrase m'a interpelée parce que si vraie...elle résume bien la rencontre avec le vieux monsieur, son histoire personnelle et ce à quoi il aspire...partager un peu de bonheur avec quelqu'un...

Britanya a écrit:

..faire sa crise, remettre les choses à plat...mais ça?!!

dans un certain sens il y est arrivé

j'ai honte

d'après les articles sur le cas mac candless il pesait 67 livres au moment de son décès, vraisemblablement causé par une toxine présente dans les pommes de terre sauvages (comme dans les notres d'ailleurs) quand elles se dégradent, une forme de solanine qui donne des crampes d'estomac à un bien portant et lui pompe sa réserve en sucre, mais peuvent mettre par terre quelqu'un qui est déjà faible.

Swinging a écrit:

Britanya a écrit:

..faire sa crise, remettre les choses à plat...mais ça?!!

dans un certain sens il y est arrivé

j'ai honte

Tu peux!


...tu veux un chewing-gum?

si ça se trouve c'est bon, on a des à priori parfois

c'est des neuves ou bien?

... des bien....y'a plus de goût...


...j'ai honte d'un seul coup d'un seul...



...pour en revenir aux flashs back, c'est simple...il est dans le bus à la fin...the Magic Bus... c'est une émission éducative pour les enfants américains...du genre comment se débrouiller seul en pleine forêt....comment ne pas confondre les bonnes patates des mauvaises...l'équivalent de notre " C'est pas sorcier"...

Peut être un peu long(çà ne m'a pas vraiment semblé l'être), des invraissemblances (je ne sais pas je n'ai pas vraiment fait attention), des séries de retours en arrière ( on en a bien parfois quand on cherche à aller plus loin en avant), et puis au bout du compte je me dis que c'est quand même inspiré d'un fait réel et là , çà donne plus d'émotion.

Alors finalement c'est un bon film, qu'il faut voir sur grand écran, c'est mieux pour les paysages, qui donne envie d'en parler, c'est quand même un bon point, on s'etend rarement sur les navets!

En sortant j'ai pensé qu'au temps des gauloises bleues et de soirées thé au jasmin j'aurais adoré! pour les belles rencontres, les petites phrases gravées ici et là, la recherche d'ideal et le mot de la fin. Aujourd'hui je garde tout çà mais je me demande s'il est bien utile de se mettre autant en danger pour y arriver....ou tenter d'y arriver.

Ce soir sur canal, un film magnifique pas grand chose a ajouté, surtout dans cette période troublé,
si vous aimez la nature et les histoire vrai, ainsi que la zic qui accompagne ce film alors...

Résumé
Tout juste diplômé de l'université, Christopher McCandless, 22 ans,
est promis à un brillant avenir. Pourtant, tournant le dos à
l'existence confortable et sans surprise qui l'attend, le jeune homme
décide de prendre la route en laissant tout derrière lui.
Des champs
de blé du Dakota aux flots tumultueux du Colorado, en passant par les
communautés hippies de Californie, Christopher va rencontrer des
personnages hauts en couleur. Chacun, à sa manière, va façonner sa
vision de la vie et des autres.
Au bout de son voyage, Christopher
atteindra son but ultime en s'aventurant seul dans les étendues
sauvages de l'Alaska pour vivre en totale communion avec la nature.

Eddie Vedder, chanteur du groupe Pearl Jam et comppositeur de la bande originale du film, a décroché le Golden Globe 2008 de la Meilleurs chanson.

Nous en avions parlé là...

https://carpedi.forumactif.com/films-f5/into-the-wild-de-sean-penn-t1476.htm?sid=c68e76c94f9682faa9556e807d64a4d0

Pas le temps de déplacer et de revoir, je suis invitée à un Trivial Pursuit...bonne soirée ciné

merci brytania, je vais me jetter sur les coms, bizz

et pour en revenir au film, maintenant que les deux sujets sont fusionnés, j'encourage vraiment à le voir...
Il y a dans ce film tout ce regard que l'on peut avoir sur la société... et quand la société ne peut plus nous apporter les raisons de notre existence, ce film, et d'autres dans le genre, redonne une bonne bouffée d'oxygène...
à tous ces gens qui ont cherché à vivre dans le confort pour justifier de leur dépendances, ce film ne leur dira rien... mais pour tous ceux qui se demandent encore pourquoi la société les dirige sur la production, la consommation, les dettes, etc... ce film est un bon remède au stress...

je trouve que cet un film politique, un film social, un film sur le sens du mot bonheur, un film qui fait énormément réfléchir sur le sens que l'on veut donner a sa vie, et le sens qu'on nous impose depuis notre naissance à vivre dans un système que l'on a pas choisie et dont il est très difficile d'en sortir, un système de vie qui pour moi est plutôt subie que choisi, quoi que depuis déjà quelques année j'ai vraiment commencé à supprimer beaucoup de chose qui ne me sont plus utile et d'essayer de prendre du recul sur le consumérisme imposé. Maintenant il faut trouver son bonheur dans les plus petites choses de la vie, pour apprécier de plus grande chose, ce qui est sur, si j'ai bien compris la fin de ce film, c'est que le bonheur n'existe pas sans l'autre, peu importe qui est l'autre.